Une histoire banale, une écriture qui semble l'être aussi...
Et pourtant, dans le monde entier, on ne parle plus actuellement que des livres d'Elena Ferrante. Je n'ai lu que le premier tome, mais j'ai tout de suite accroché. Me posant cette question lancinante à chaque page : je n'ai pas connu la banlieue pauvre de Naples après guerre, alors pourquoi est-ce que j'ai l'impression de revivre ma propre jeunesse, en tous points différente et éloignée de "L'amie prodigieuse" ?
Et ce, d'autant plus qu'il s'agit d'une histoire de femmes, racontée par une femme ?
commentaires