(…) "Et puis il y a aussi l’ADN des Français par rapport à l’évolution du monde. On peut se poser des questions. C’est un peuple extrêmement difficile à gouverner. J’ai donc souvent un peu d’indulgence pour ceux qui le dirigent."
(…)"J’ai toujours pensé […] que, quel que soit l’enjeu que représente une alternance, il ne faut pas non plus tomber dans les rêves. […] Qu’ont proposé successivement Chirac, Sarkozy et Hollande ? La rupture. Or il n’y a pas un mot plus dangereux que celui-là. Faire croire au monde que l’on pourra d’un coup de baguette magique changer les choses en cinq ans ou en dix ans, c’est grave. " (…)
Extraits de son livre lors d’une interview de L’Obs du 30-03-2016, intitulée "Delors à livre ouvert"
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