On parle du trop-plein d’émissions de gaz carbonique industriel provoquant un effet de serre perturbant gravement notre climat. Au sein du gouvernement américain, alerté par les scientifiques, personne n'a agi, et le pouvoir, en accord avec les industriels, décida officiellement en 1980 de ne rien faire pour empêcher le réchauffement climatique, allant jusqu'à écrire en 1980 : « Ne nous chargeons pas de ce fardeau. Laissons à d’autres le soin de s’occuper de cet aspect des choses. »
Rengaine reprise en choeur par les autres nations depuis, France comprise, l'exécutif actuel compris.
Et aujourd'hui, partout dans le monde la nature commence à en subir les premières conséquences. La nature...aujourd'hui, mais...nous demain !
La biodiversité décroît à une vitesse inédite, menaçant désormais de façon directe l'humanité. Nous sommes en alerte rouge, et devons comprendre sans tarder que la destruction de la nature est une menace pour la survie de notre espèce encore plus importante et plus directe que celle résultant du changement climatique. Un véritable crime environnemental.
On commence seulement à comprendre que ce n'est pas deux ou trois degrés de température en plus qui pourraient nous rayer de la surface du globe, mais plutôt la disparition des poissons des océans, des cultures des champs (et donc des animaux comestibles), de l'eau des rivières : combien de temps tiendra-t-on sans boire ni manger ? La technologie la plus avancée ne servira à rien si nous n'avons plus ni agriculture, ni pêche, ni eau potable.
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