Moins impressionnant que "Les promesses de l’ombre", nous plongeons de nouveau avec La nuit nous appartient dans l’univers sans pitié de la mafia russe, New York a remplacé Londres, et l’analyse des liens familiaux est ici aussi passée au crible. Grands acteurs, ambiance presque shakespearienne, Gray tourne peu (Little Odessa en 1994, The Yards en 2000), mais bien.
On regrettera une seconde partie pas à la hauteur de la première, sans doute à cause du mal qui discréditait déjà la (formidable pendant la première heure) "Guerre des mondes" de Spielberg : le virage vers le happy end.
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