Parce qu'en amont, ce sont d’autres hommes qui positionnent habilement les appareils photos et les caméras « derrière » les joueuses, à bonne hauteur.
Bon, devant, ce n'est pas désagréable non plus, mais il y a déjà tellement de sports filmant les athlètes de face ou de profil, ça fait du bien d'en voir de temps en temps de dos.
Les féministes hurlent, naturellement, mais bon, moi je sais que si on me donne le choix entre regarder, parmi quelques épreuves des J.O. médiatisées une seule fois tous les quatre ans, 1) en tir au pistolet 25 mètres masculin, la finale, 2) en voile la 5è régate de RS X féminin, 3) un match du tour préliminaire de hockey sur gazon masculin, 3) en haltérophilie la finale des – de 75kg féminin et 4) n’importe quel match de beach féminin je n’hésite pas une seconde, choix quatre. Par contre, si c’est juste pour écouter à la radio, ça n’a plus aucun intérêt. A moins que les françaises jouent.
A noter, cette définition poétique de la discipline, donnée par une joueuse australienne:
"C'est un sport simple à comprendre : mettre la balle au dessus du filet ; ne pas toucher le filet avec son corps ; trois touches de chaque côté ; ne pas mettre de sable dans son short. Je joue depuis vingt ans, pourtant je ne maîtrise toujours pas."
Question tenue vestimentaire, ça doit être compliqué dans les pays musulmans ! Selon les pays, les plus rétrogrades autorisent cependant au moins l'un de ces survêtements :
Pas évident qu'il y ait autant de téléspectateurs et que certaines prouesses athlétiques puissent être réalisées aussi aisément que ci-dessous (par une suifesse,........ ......oups, lapsus, pardon, une suissesse) :
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