Indémodable Bach ! En plein milieu du XIXè siècle, Liszt transcrit certaines de ses oeuvres d'orgue pour le piano (voire cantates, cf supra), avec génie faut-il le rappeler ?
Certains, dont Liszt à nouveau, vont plus loin encore, et composent "à la manière de" d'authentiques chefs d'oeuvre, à la fois de leur temps et de celui de leur illustre devancier. Ils repassent le Bach, mention excellent.
Avant les 24 Préludes et fugues op. 87 de Chostakovitch au XXè siècle, il y eut en 1884 ce pur miracle qu'est le Prélude, choral et fugue de César Franck, injustement ignoré par de nombreux artistes. Heureusement, deux grands pianistes (spécialisztes de Liszt) ont gravé pour le disque une version mémorable : Bolet et Wild. Grandiose.
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