L'album, sans titre, publié en 2002, est le troisième de Sigur Ros. L'un des moins spectaculaires, des plus secrets. Sauvé de l'oubli par le dernier titre de l'album,Popplagið, un inoubliable crescendo, encore plus enivrant lorsque l'on a écouté en continuité tous les morceaux depuis le premier. L'atmosphère intimiste, éthérée des sept premiers morceaux laisse alors la place à une apothéose qui semblait réservée à la musique classique. Renversant.
De toute façon, Sigur Ros, c'est de la grande musique. Depuis que j'ai découvert le groupe l'été dernier, je n'écoute pratiquement plus que ça. Franchement, le mot n'est pas galvaudé, ce qu'ils font, c'est SUBLIME.
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