Non, notre pays n'était pas engourdi par le froid hivernal et la tristesse paralysante, dans les jours qui ont suivi les attentats, il avait fière allure, ce qui est suffisamment rare pour être signalé. Chaud bouillant, mais gardant la tête froide, et évitant les amalgames, la stigmatisation.
Dire que des handicapés en fauteuil (tiens, mais c'est ma cousine, là, sur la photo), ou des étrangers, défilaient aussi ! C'était profondément émouvant.
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